LIQUIDE -Application en foliaire
Gaïago a fait le choix d’une formulation liquide de ses conditionneurs de sol.
Un choix cohérent :
- Une répartition garantie sur toute la surface du sol.
- Utilisation de molécules qui ne conservent leur efficacité qu’à l’état liquide.
- 100 % des composants immédiatement actifs dans le sol.
- Réduction de l’empreinte carbone de l’entreprise et de celle des agriculteurs.
1. Création d’humus et stockage du carbone
NUTRIGEO nourrit spécifiquement et crée les conditions les plus propices au développement des actinomycètes, des champignons décomposeurs, humificateurs et symbiotiques (mycorhizes, trichoderma, etc...). NUTRIGEO assure une bonne mycorhization. Il permet de valoriser au mieux les composts, fumiers et lisiers pour former de l’humus stable.
2. Amélioration de la structure du sol et aération
NUTRIGEO crée rapidement l’environnement favorable au développement et à l’action des « ingénieurs du sol » ; il agit sur l’écosystème du sol et sur son fonctionnement : activité biologique = porosité = aération. NUTRIGEO agit sur les phénomènes de compaction, d’hydromorphie et d’acidification de surface.
3. Inhibition des uréases
Certains composants de NUTRIGEO ont la capacité de ralentir l’activité des uréases. NUTRIGEO limite les pertes dues à la volatilisation des engrais azotés.
4. Optimisation du cycle de l’azote et des minéraux
L’utilisation de NUTRIGEO crée les conditions favorables aux rhizobactéries (dont les azotobacter du FREE N 100 et les Bacillus mucilaginosus du FREE PK). NUTRIGEO est la garantie de succès de tout inoculant microbien.
5. Prévention des maladies du sol
Par son action sur le développement de la flore antagoniste et l’amélioration de la porosité des sols, NUTRIGEO laisse moins de place aux micro-organismes pathogènes et les met dans des conditions défavorables à leur développement.
AB: Utilisable en AB
« De récentes recherches ont démontré que les champignons contiennent de 50 à 70% du carbone total stocké dans les sols. »
Wallander H, Goransson H and Rosengren U. Oecologia, 139: 89-97.
